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Loupiot a exploré les notions de pair et impair suivant la méthode décrite par Libellule sur son blog, d'abord ici puis .
C'est simple, c'est manipulatoire, c'est entrainant. Loupiot s'est retrouvé à réciter de lui-même «1, 3, 5, 7, ...» en faisant l'un des prolongements.
Pas besoin de matériel très compliqué, des cartes numérotées et des jetons ou des cailloux[1] font l'affaire.

En deux mots pour ceux qui n'iront pas lire les liens, l'exercice consiste à associer à chaque nombre la quantité correspondante de pierres, en formant un chemin. S'il reste une pierre seule, elle est mise au bout.

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Un dernier prolongement, encore chez Libellule.

Notes

[1] C'est plus facile s'ils sont le plus simples et le plus semblables possible, pour ne pas détourner l'attention.